Il dirige tout depuis son bureau de la pyramide tronquée, comme le faisait sa prédécesseure Jacqueline Fraysse Cazalis que certains avaient surnommée " La Tzarine ". Son cheval de bataille c'est l'immobilier, un véritable castor, un bétonneur hors pair . Contrairement au baron Haussmann que ses détracteurs appelaient le Castor, il donne donne dans l'architecture bas de gamme car il veut offrir des appartements aux nanterriens à des prix hors concurrence, avec tous les inconvénients que cela implique:
des prix tirés vers le bas, des promoteurs bon marché et des malfaçons à foison. Étonnant de la part de quelqu'un qui aurait fait carrière dans les travaux publics.
Plutôt mal élu au dernières élections municipales avec un taux de participation de 33,87% et 51,91% des voix , avec ce qu'il considère comme une grande victoire, il ne représente que 17,58 % du corps électoral. Malheureusement pour la démocratie, une faible participation n'est pas un motif d'annulation d'élections municipales.
Patrick Jarry aura néanmoins réussi l'exploit d'accueillir dans la majorité municipale 26 conseillers dits de la société civile, en fait , des personnes impliquées dans des associations qui bénéficient des largesses de la municipalité, une cohorte de "yes men" qui se feront un devoir de voter tout ce que proposera le premier magistrat.
Habitué au clientélisme, il aura réussi l'exploit de vendre une école de la République à une association cultuelle (l'institut Ibn Badis) pour agrandir ses locaux, alors qu'il aurait très bien pu la leur louer. Que se passera -t-il si la décision est prise de raser l'ancienne école ? Patrick Jarry devra en assurer l'entière responsabilité et démissionner.
A bientôt ,si vous le voulez bien.
des prix tirés vers le bas, des promoteurs bon marché et des malfaçons à foison. Étonnant de la part de quelqu'un qui aurait fait carrière dans les travaux publics.
Plutôt mal élu au dernières élections municipales avec un taux de participation de 33,87% et 51,91% des voix , avec ce qu'il considère comme une grande victoire, il ne représente que 17,58 % du corps électoral. Malheureusement pour la démocratie, une faible participation n'est pas un motif d'annulation d'élections municipales.
Patrick Jarry aura néanmoins réussi l'exploit d'accueillir dans la majorité municipale 26 conseillers dits de la société civile, en fait , des personnes impliquées dans des associations qui bénéficient des largesses de la municipalité, une cohorte de "yes men" qui se feront un devoir de voter tout ce que proposera le premier magistrat.
Habitué au clientélisme, il aura réussi l'exploit de vendre une école de la République à une association cultuelle (l'institut Ibn Badis) pour agrandir ses locaux, alors qu'il aurait très bien pu la leur louer. Que se passera -t-il si la décision est prise de raser l'ancienne école ? Patrick Jarry devra en assurer l'entière responsabilité et démissionner.
A bientôt ,si vous le voulez bien.