Nanterre est un bastion communiste depuis 1935 , trente ans après la chute du mur de Berlin et en cette période de dégagisme , on peut s'inquiéter de l'avenir d'une municipalité dont la majorité est encore grandement constituée de membres du Parti communistes souvent masqués sous l'étiquette bien pratique " société civile" . En accueillant dans sa dernière équipe des membres d'associations généreusement arrosées par la ville de Nanterre, Patrick Jarry espère garder la place forte mais pour combien de temps lorsque l'on voit qu'il a été élu avec 17 % des suffrages des électeurs inscrits et un taux d'abstention de 66%.
Un véritable affront au non renouvellement des mandats qui malheureusement finit par créer ,comme dans toutes les communes où les maires multiplient des mandats successifs des réseaux d'influence, du copinage, des délits de favoritisme et l' arrosage systématique de certaines associations à l'approche des élections et même en cours de mandat. Le décès du jeune Nahel a hélas aussi montré que le clientélisme et l'attitude pourtant conciliante de la municipalité avec certains auteurs d'"incivilités" n'avaient pas empêché des écoles d'êtres incendiées et des équipements publics d’être détruits. Comme chacun des maires de cette ville Patrick Jarry a démissionné à mi-mandat et désigné son successeur qui comme lui n'appartient à aucun parti ( rires)...
Que sont-ils allés faire dans cette galère ? (1)
Comment des écologistes peuvent-ils soutenir Patrick Jarry, grand bétonneur de Nanterre.
Avec 6% de son territoire occupé par des espace verts, Nanterre est loin d'être un exemple en matière d'écologie.
Nous avons décidé de savoir qui étaient les élus écolos qui se sont accoquinés avec le maire de Nanterre
D'abord ,à tout seigneur tout honneur ,Julien Sage , qui avait failli faire vendre à un prix défiant tout concurrence un pavillon à sa sœur par la municipalité(c'est ici).
Il s'était fait oublié en abandonnant son poste de maire adjoint :
En charge de l'urbanisme et de l'aménagement, Julien Sage, lui, ne paie
pas ni une attitude de défiance vis-à-vis de la majorité municipale, ni
un comportement de franc-tireur. Désireux de « souffler un peu »,
l'écologiste dit quitter ses fonctions pour « raisons personnelles »
mais reconnaît volontiers déjà réfléchir à l'échéance de 2020. Ses
délégations seront reprises par Dominique Debras, jusqu'alors
conseillère municipale déléguée à la charte ville-handicap.(Le Parisien)
Mais est revenu, après s'être fait un peu oublier comme candidat puis comme maire adjoint ....
Un procédé qui n'a rein à envier à ceux des plus lamentables politicards.
C'était notre premier post
A bientôt ,si vous le voulez bien .
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